

Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.











Nous vous remercions de votre important soutien qui nous a permis d'aller plus sereins à ce procès car nous étions portés par la vague, et cette mobilisation a certainement contribué à la modération du réquisitoire et du verdict.
Nous avions envisagé de faire appel pour ne pas "trahir" ce soutien et parce que nous pensions que la poursuite de la polémique serait utile à la défense des droits humains, et en particulier à RESF.
Après consultation de divers conseils et au vu des évènements et déclarations récentes, nous avons décidé de ne pas faire appel de ce jugement pour les motifs suivants :


Hier avait lieu le procès pour outrage de Gérard Chevrot, Pierre Favre, Daniel Candas, Yves Ribault, Valérie Martinez et Eric Soares. Le procureur a requis une amende de 1.000 euros avec sursis contre chacun des six personnes poursuivies. Délibéré le 12 août. Compte-rendu sur La République des Pyrénées + vidéo sur France 3 Aquitaine.





Samedi 10 avril, 18h30/ Librairie La Gryffe 5 rue Sébastien-Gryphe 69007 Lyon / Métro Saxe-Gambetta