Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
vendredi 27 août 2010
Décès de Jean-Paul Hébert, secrétaire général adjoint de la Ligue des droits de l’homme
Piqûre de rappel. "Le petit Maurice dans la tourmente" de Maurice Rajsfus
jeudi 26 août 2010
Paroles de résistance, Serge Portelli, magistrat, vice-président au Tribunal de Paris
mercredi 25 août 2010
Brandir une pancarte "Casse-toi pov’con!" devant l’Elysée n’est pas considéré comme une offense au président de la République
Communiqué des "5 de Pau" condamnés à 1.000 euros d’amende avec sursis pour outrage au préfet Rey
Nous vous remercions de votre important soutien qui nous a permis d'aller plus sereins à ce procès car nous étions portés par la vague, et cette mobilisation a certainement contribué à la modération du réquisitoire et du verdict.
Nous avions envisagé de faire appel pour ne pas "trahir" ce soutien et parce que nous pensions que la poursuite de la polémique serait utile à la défense des droits humains, et en particulier à RESF.
Après consultation de divers conseils et au vu des évènements et déclarations récentes, nous avons décidé de ne pas faire appel de ce jugement pour les motifs suivants :