Petit rappel : la plupart des outrageurs de policiers, préfets, gendarmes, etc, sont généralement condamnés à des amendes variant entre 300 et 800 euros fermes…
Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
jeudi 7 mai 2009
Un député UMP condamné pour outrage (selon que vous serez puissant ou misérable)
Damien Meslot, député UMP * du Territoire de Belfort, a été condamné en février à 700 euros d'amende avec sursis et à un euro de dommages et intérêts pour outrage envers le procureur de la République de Belfort. Selon un policier, venu apporter une convocation à sa permanence en mars 2007 dans le cadre d'une procédure en cours, le député aurait déclaré : "Ce gaucho de merde de procureur nous fait chier." Le député a interjeté appel de cette décision. *dépositaire d'un projet de loi demandant à ce que les "étudiants bloqueurs" des universités soient condamnés à 1.000 euros d’amende : Lire l'article du Monde.
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