Le juge unique de la 7e chambre correctionnelle du tribunal de Lyon a relaxé, lundi, les deux auteurs du vol de la photo officielle du président, en appliquant « l’état de nécessité » – une notion juridique rarissime. Dans sa décision, le juge Marc-Emmanuel Gounot a estimé que « le décrochage de ce portrait doit être interprété comme le substitut nécessaire du dialogue impraticable entre le président de la République et le peuple ».
À lire sur Libération.
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