L’affaire est relatée par Nantes Révoltée, et soigneusement ignorée par les médias.
Pierre Sennès, procureur de la République à Nantes, n’a rien à envier à Brigitte Lamy, qu’il remplaça en 2016, et dont il fut écrit qu’elle estimait que la police avait le droit de crever les yeux des manifestants.
Il vient de mener rondement une enquête, dans laquelle trois gaillards porteurs d’un homard géant en carton-pâte lors d’une manifestation qui se tint le 14 septembre à Nantes, ont été maintenus en garde à vue pendant 52 heures et accusés d’association de malfaiteurs.
Folie répressive pathologique ? Obsession infantile des Pieds Nickelés (dont il aurait été privé pendant sa jeunesse par une maman intraitable) ? Les historiens des années Gilets jaunes auront à cœur de répondre à cette question.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire