Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
lundi 1 juin 2009
Les préfets de Sarkozy n’aiment pas que l’on leur parle de "la triste époque où l’on mettait des enfants dans des wagons"
En juillet 2008, Eric Soares, médecin, s'était ému d'un arrêté d'expulsion d'une famille d'Albanais sans-papiers. Dans un courriel adressé au préfet des Hautes-Pyrénées, il écrivait: «Je tombe des nues, j'apprends que l'on autorise l'enfermement d'enfants, cela me rappelle une triste époque où l'on mettait les enfants dans des wagons.» Cela lui vaut d'être poursuivi pour outrage par le courageux préfet, un certain Philippe Rey, qui estime que "la ligne rouge a été franchie". Date de l'audience non connue. Tous les détails sur le site de Sud-Ouest.
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