Dans l’interminable litanie des violences policières érigées en principe régalien par le régime d’exception policier Macron-Castaner-Belloubet, voici ce qui est arrivé à Marie, étudiante en journalisme à l'ESJ de Lille, lors de la manifestation du jeudi 9 janvier. Elle a été frappée à trois reprises alors qu'elle prenait des photographies du cortège.
Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
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