
Convoquée le 17 juin au commissariat d’Herblay (95), Valérie a été entendue pendant deux heures par les policiers. Aucune date d’audience ne lui a été signifiée pour le moment.
Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
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