mercredi 9 décembre 2020

10 décembre. Procès de Stéphane Espic, poursuivi pour outrage par le préfet de police Didier Lallement

Stéphane Espic, le Gilet jaune qui murmure à l’oreille des flics du préfet Lallement, cumule près de 200 heures de garde à vue, et une bonne dizaine de procès, en cours ou à venir. Celui qui se déroule demain, jeudi 10 décembre à 9h, devant le tribunal de Paris (chambre 24.1), est un peu particulier… En effet, la plainte émane du préfet de police en personne, Didier Lallement, dont la dernière action d’éclat consiste à avoir accordé une aide financière aux quatre policiers racistes responsables du tabassage du producteur Michel Zecler.


« Macron, ce trou du cul se prenant pour Jésus. »


De quels faits gravissimes Espic est-il accusé ?

Le 13 avril 2020, dans un courriel tout en fantaisie, Stéphane Espic informait la préfecture de police de la tenue d’une improbable manifestation place Beauvau, les 30 avril et 1er mai, alors que la France entière était confinée (ci-contre le parcours).


Le ton burlesque et le caractère irrévérencieux du message n’ont pas plu à l’inflexible Didier Lallement [notamment le passage où l’accusé taxe le président Macron de « trou du cul se prenant pour Jésus »], qui a déposé une plainte pour outrage.

Stéphane Espic est défendu par Juan Branco.


LIRE. 4 septembre. Procès pour outrage de Stéphane Espic, le Gilet jaune qui murmure à l’oreille des flics du préfet Lallement


LIRE. Le tribunal de Toulon annule la procédure visant Stéphane Espic pour “injure” et “diffamation” envers le couple Macron


LIRE. Stéphane Espic fait appel du jugement le condamnant à verser 1428,72 € pour outrage et dégradation de biens

1 commentaire:

hoverboard951♡ a dit…

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