Arrêté par la police le samedi 20 avril place de la République, lors de l’acte 23 des Gilets jaunes, le journaliste indépendant Gaspard Glanz, fondateur de Taranis News, à l’origine de la divulgation des brutalités d’Alexandre Benalla, a été mis en garde à vue pendant 48 heures pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations » et « outrage sur personnes dépositaires de l’autorité publique » Objet du délit : il a adressé un doigt d’honneur en direction des CRS.
Gaspard Glanz sera jugé le 18 octobre pour outrage. Il lui est interdit de paraître à Paris tous les samedis et le 1er mai jusqu’à la date de l’audience.
Libération, Gaspard Glanz, un journaliste qui dérange la police.
L’Humanité, Gaspard Glanz, le journaliste à tuer direct.
Reporterre, Le journaliste Gaspard Glanz libéré mais empêché de travailler à Paris.
Gaspard Glanz sera jugé le 18 octobre pour outrage. Il lui est interdit de paraître à Paris tous les samedis et le 1er mai jusqu’à la date de l’audience.
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