
Toujours est-il que voici le compte-rendu du procès en appel de Jean-Jacques Reboux, cofondateur du CODEDO.
Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
1 commentaire:
Finalement, les violences de Jean-Jacques Reboux sont comme la grande majorité des violences policières... elles n'existent que dans l'imagination des, soi-disant, victimes qui, elles-mêmes, ne se caractérisent pas par un comportement exemplaire.
Enregistrer un commentaire