Deux mois après Anne et les trois collégien(ne)s mis en garde à vue pour une histoire de dispute, trois lycéens marseillais ont été placés en garde à vue pendant plusieurs heures le vendredi 2 avril pour avoir insulté une autre élève, dont la mère, commandante de police, a vu rouge, ont dénoncé le syndicat Snes-FSU et la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), rapporte l’AFP.
Officiellement destiné à protéger les représentants de l’autorité publique, le délit d’outrage est utilisé pour COUVRIR LES VIOLENCES POLICIÈRES et RÉPRIMER les citoyens qui protestent contre la politique gouvernementale, avec une utilisation renforcée sous la présidence Macron, contre le mouvement des Gilets jaunes, notamment. C’est donc un délit d’exception, purement politique, dont nous demandons la dépénalisation.
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